DrAndré Gernez, le scandale du siÚcle Ha ben mince alors emportés par nÎtre incommensurable naïveté, des patients ont eu la naïveté de guérir. Bla bla bla Marco, les lois de la biologie sont
Docteur AndrĂ© GERNEZ Le pĂšre de la thĂ©orie des cellules souches RĂ©vision des dogmes du double cycle cellulaire et de la fixitĂ© neuronale Introduction Ă la pathologie, la prĂ©vention et la thĂ©rapie des maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives On peut aujourdâhui vaincre le cancer, lâartĂ©riosclĂ©rose, la sclĂ©rose en plaques, la schizophrĂ©nie, la myopathie de Duchenne et contrĂŽler dâautres maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives telles que la maladie de Parkinson et la maladie dâAlzheimer. Cette assertion triomphante dans un domaine oĂč les succĂšs sont lâexception ne rĂ©sulte pas dâun point de vue prĂ©somptueux ; elle sâappuie sur les travaux du docteur AndrĂ© Gernez, cancĂ©rologue et physiopathologiste reconnu mondialement, mais curieusement occultĂ© en France. Qui est le docteur AndrĂ© Gernez ? NĂ© en 1923, brillant Ă©lĂšve, bachelier Ă quinze ans, il sera en 1944, Ă 21 ans, le plus jeune mĂ©decin de France. AprĂšs un engagement volontaire au service militaire, il devient attachĂ© au prestigieux institut français du cancer, la Fondation Curie, Ă Paris. LâidĂ©e pastorienne domine alors la mĂ©decine, de sorte que la cancĂ©risation est considĂ©rĂ©e comme le rĂ©sultat dâune agression, prĂ©supposĂ©e virale, qui finit par dĂ©border la dĂ©fense immunitaire de lâorganisme. Cette approche paraĂźt dâemblĂ©e incohĂ©rente Ă Gernez. En effet, â le cancĂ©reux ne prĂ©sente pas de dĂ©ficience immunitaire. â La voie dâessaimage du cancer est prĂ©cisĂ©ment celle de lâorganisme la plus riche en cellules de dĂ©fense. â Cellules cancĂ©reuses et cellules de dĂ©fense coexistent dans une indiffĂ©rence rĂ©ciproque totale dans les ganglions lymphatiques. â Les cultures de cellules saines, cultivĂ©es aseptiquement, se cancĂ©risent couramment. Gernez en dĂ©duit que la voie pastorienne est inadaptĂ©e ; il suivra donc une dĂ©marche diffĂ©rente. Voici la chronologie de ses dĂ©couvertes 1946-1949 Sa recherche porte alors sur une maladie exceptionnelle en France, mais frĂ©quente en SuĂšde. La maladie de Plummer-Vinson ou Brown-Kelly-Paterson prĂ©sente la particularitĂ© de contenir des cellules cancĂ©reuses qui disparaissent si on lui applique une simple procĂ©dure correctrice des conditions qui lâengendrent. AndrĂ© Gernez, mandatĂ© par son maĂźtre le professeur Porcher, Ă©tudie cette affection en Angleterre Radcliffâs, Oxford, en SuĂšde Karolinska, Stockholm, aux Etats-Unis Presbyterian Hospital, New York. Il en revient avec une double conviction â Dâune part, Ă lâinverse de ce que lâon pense, la cancĂ©risation nâest nullement un processus agressif Ă lâencontre de lâorganisme, mais procĂšde au contraire dâun mĂ©canisme supplĂ©tif tout Ă fait normal, Ă savoir une hyperplasie compensatrice qui intervient dans une population cellulaire quand elle devient incapable de faire face Ă ses obligations fonctionnelles. Elle mobilise alors des individus cellulaires tarĂ©s â des mutants â qui dans les conditions normales sont inviables, de la mĂȘme maniĂšre quâune armĂ©e dĂ©cimĂ©e ou confrontĂ©e Ă un ennemi supĂ©rieur en nombre incorpore des individus peu valides qui dans des conditions normales seraient rejetĂ©s dans la rĂ©serve ou exclus de lâarmĂ©e. Le cancer, câest lâhyperplasie compensatrice du pauvre. » â Dâautre part, Ă lâinverse de ce que lâon pense, la cellule cancĂ©reuse nâest pas un mutant anarchique dâapparition rare, mais rĂ©sulte dâun processus constant, alors que la cancĂ©risation est exceptionnelle. La cancĂ©rogĂ©nĂšse est permanente alors que la cancĂ©risation est exceptionnelle. De surcroĂźt, cette cellule cancĂ©reuse nâest aucunement rĂ©sistante mais au contraire fragile, instable, vulnĂ©rable Ă la moindre modification de son biotope. Ces conclusions furent publiĂ©es en 1949. Cette nouvelle approche du problĂšme, noyĂ©e dans les 600 000 publications annuelles sur le cancer, Ă©tait irrecevable Ă lâĂ©poque. Elle Ă©tait en effet opposĂ©e Ă une quantitĂ© de notions dogmatiques que Gernez rĂ©pertoria pour les soumettre Ă la synthĂšse. Reprenant Ă la base toute la cytologie, il constata avec stupĂ©faction que le fondement mĂȘme de la thĂ©orie cellulaire, qui commande toute la biologie, Ă©tait erronĂ© et que cette erreur interdisait la solution du problĂšme posĂ© par les maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives. 1950-1964 Ces notions Ă©videntes mais nouvelles se heurtĂšrent au conformisme et au dogmatisme des milieux universitaires et de la recherche. Le Docteur AndrĂ© Gernez, Ă©cartĂ© dâune brillante carriĂšre, vint sâĂ©tablir en cabinet de radiologie Ă Roubaix. Ces annĂ©es passĂ©es loin de lâagitation parisienne furent propices Ă la rĂ©flexion et Ă la cristallisation » des idĂ©es novatrices de ce dĂ©couvreur. RĂ©vision du dogme du double cycle cellulaire 1963-1970 Il avait Ă©tĂ© admis au dĂ©but du siĂšcle dernier que la cellule exerce alternativement un rĂŽle fonctionnel et un rĂŽle gĂ©nĂ©rateur de cellules-filles, comme lâhomme qui exerce ce double rĂŽle. 1963 En rĂ©alitĂ©, les cellules qui travaillent et les cellules qui se divisent ne sont pas les mĂȘmes. Au modĂšle anthropomorphique il fallait substituer le modĂšle animal, comme celui dâun essaim dâabeilles oĂč la reine est gĂ©nĂ©ratrice et sans activitĂ© alors que les ouvriĂšres sont fonctionnelles et infĂ©condes. Lâautoradiographie par fixation de tritium sur lâADN cellulaire confirma que en processus normal une cellule-mĂšre se divise en deux cellules-filles dont une seule pourra seCe bouleversement du principe fondamental de la biologie cellulaire fut validĂ© par une note discrĂšte qui passa inaperçue dans la presse scientifique PM 12-X-1968. La mĂȘme mĂ©thode dĂ©montrait aussi que la cellule cancĂ©reuse donne naissance Ă deux cellules-filles qui, comme les cellules embryonnaires, sont toutes deux gĂ©nĂ©ratrices. Gernez crut que lâĂ©vidence Ă©tait contraignante et que, confirmation expĂ©rimentale acquise, le bouleversement scientifique sâimposerait de lui-mĂȘme. Ce ne fut pas le cas. 1965 En 1965, Madame Escoffier-Lambiotte, chroniqueuse mĂ©dicale trĂšs connue en France, le pressa de publier car les implications de cette dĂ©couverte sur la pathogĂ©nie, la prĂ©vention et la thĂ©rapie des cancers Ă©taient importantes. 1966 Gernez reporta sa dĂ©cision Ă 1966, espĂ©rant que le CongrĂšs International du cancer, de Tokyo dĂ©voilerait aux chercheurs du monde cette avancĂ©e scientifique. Le congrĂšs sâacheva sur un constat dâĂ©chec !Publication de la dĂ©couverte 1966-1971 Conjointement avec Delahousse, avec qui il collaborait depuis plusieurs annĂ©es, Gernez soumit Ă lâAcadĂ©mie des Sciences en 1967 et 1968 des notes et un mĂ©moire introductif NĂ©o-Postulats Biologiques et PathogĂ©niques. » Le jugement de lâAcadĂ©mie des Sciences tomba en dĂ©cembre 1968. Il prend acte dâune trĂšs grande dĂ©couverte » Ă cĂŽtĂ© de laquelle on aurait pu Ă©viter de passer, technique en mains, par mĂ©connaissance de la pathologie humaine » Turpin. Il sera suivi en 1969 par celui de lâAcadĂ©mie de MĂ©decine. Les choses se prĂ©cipitent alors. Le professeur Charles Gernez-Rieux, membre de lâAcadĂ©mie des Sciences, de lâAcadĂ©mie de MĂ©decine, directeur de lâinstitut Pasteur sans lien de parentĂ© avec le docteur Gernez le convoque. AprĂšs lui avoir fait part du jugement positif portĂ© par toutes les institutions scientifiques sur les fondements biologiques exposĂ©s, il lui demande de formuler rapidement les dĂ©veloppements indispensables. Le docteur AndrĂ© Gernez lui confirme quâils dĂ©bouchent sur la pathogĂ©nie et, par consĂ©quent, le traitement des maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives. Le prĂ©sident de lâAcadĂ©mie de MĂ©decine, le professeur Moulonguet, demande Ă Gernez un protocole dâapplication immĂ©diate pour le cancer mammaire qui est en progression inquiĂ©tante et le prĂ©sident de lâAcadĂ©mie Nationale VĂ©tĂ©rinaire, le professeur Goret, ouvre les voies expĂ©rimentales. Gernez se conforme Ă ces instructions et formule trois mĂ©moires La CarcinogĂ©nĂšse â MĂ©canisme et PrĂ©vention Le Cancer â Dynamique et Ă©radication Loi et RĂšgles de la CancĂ©risation En 1970 se tient Ă Houston le congrĂšs international du cancer, rĂ©unissant 6000 cancĂ©rologues. Au terme de 7000 rapports, il est constatĂ© quâaucun progrĂšs ni aucune orientation nouvelle ne sont dĂ©gagĂ©s, au point que certains participants proposent dâabandonner la recherche jusquâĂ ce que de nouvelles donnĂ©es de biologie dĂ©gagent lâhorizon. Câest le congrĂšs dit de la dĂ©sespĂ©rance et du renoncement. » Un français, le professeur Dargent Lyon y introduit nĂ©anmoins la notion de potentiel massique de rĂ©ceptivitĂ© » qui est un pilier du mĂ©canisme dĂ©fini par Gernez. Ce grain semĂ© discrĂštement se dĂ©veloppe rapidement jusquâĂ ce que la thĂ©orie gernezienne soit officialisĂ©e dans le bulletin de la Ligue Nationale contre le Cancer en septembre 1972 par le professeur MarquĂ©s. 1971 Existerait-il un mal français ? Câest alors que, dans le mĂȘme temps, se dĂ©veloppe, Ă partir dâun noyau de cancĂ©rologues dĂ©terminĂ©s et affidĂ©s, une manĆuvre dâoccultation et de silence qui va sâĂ©tendre progressivement au milieu scientifique puis dĂ©border au plan politique et enfin ĂȘtre exportĂ©e Ă lâĂ©tranger pour que le barrage devienne infranchissable, mĂȘme par ceux, comme Ch. Dunham PrĂ©sident AcadĂ©mie USA qui considĂšrent le sujet comme fascinating and of great importance. » Cette pĂ©riode noire, jalonnĂ©e de comportements individuels allant jusquâau drame, constitue lâexemple probablement unique dâune occultation volontaire et dĂ©libĂ©rĂ©e dâun apport scientifique indispensable Ă la sauvegarde de millions de gens. On ne peut que garder le silence sur cette pĂ©riode et essayer dâoublier cette action concertĂ©e, tout en gardant toutefois le souvenir de ceux qui tentĂšrent dây mettre fin. 4 novembre 1971APPEL SOLENNEL DU PROFESSEUR GELLE PrĂ©sident de lâOrdre des MĂ©decins du Nord 4 novembre 1971. Le caractĂšre solennel de cet appel est nĂ©cessitĂ© par la nature grave de la matiĂšre. Il sâagit du cancer. Parmi les auditeurs adultes qui mâĂ©coutent, et qui mourront dans lâannĂ©e Ă venir, 38 % dâentre eux en seront la victime. Il nâest pas question dâun traitement curatif, mais, uniquement dâune prĂ©vention de ce flĂ©au. Elle est actuellement basĂ©e sur des propositions qui ont Ă©tĂ© jugĂ©es, contrĂŽlĂ©es et expĂ©rimentĂ©es sur des animaux depuis plusieurs annĂ©es. De sorte que toute attitude dilatoire retire toute chance Ă la fraction de population qui entre dans lâĂąge de vulnĂ©rabilitĂ©. Il ne sâagit pas de proposer ou de dĂ©fendre une thĂšse, mais de rompre un silence volontairement Ă©rigĂ©, concertĂ© et maintenu, sans aucune justification dâordre Ă©thique, et ce, en dĂ©pit de toutes les tentatives. En conclusion, le public ne peut plus sâattendre Ă un cheminement naturel, traditionnel, auquel ses propositions ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© soumises. Il sâagit dâun S. O. S., dâun sauve-qui-peut pour la fraction de la population en danger imminent. Le PrĂ©sident du Conseil de lâOrdre, conscient de la rigueur des exposĂ©s, au courant des multiples tĂ©moignages Ă©manant des plus hautes autoritĂ©s en la matiĂšre qui en reconnaissant la valeur, a considĂ©rĂ© quâil Ă©tait de son devoir de donner son concours et sa garantie morale Ă une action entreprise en vue de la protection de la santĂ© ; câest du reste une obligation qui lui est imposĂ©e par lâarticle 47 du Code de DĂ©ontologie. Chacun, maintenant doit prendre les responsabilitĂ©s quâil croit pouvoir assumer et les moyens dâaction quâil pense Ă sa portĂ©e, sans compter sur lâaction du voisin qui risque fort dâadopter la mĂȘme attitude. Câest la seule façon dâaboutir rapidement Ă un appel, enregistrĂ© Ă la tĂ©lĂ©vision, fut interdit dâantenne dans lâheure prĂ©cĂ©dant sa diffusion programmĂ©e ; cependant, adressĂ© simultanĂ©ment Ă la presse Ă©crite, nationale et internationale, il parut dans quatorze pays. Les murs de la forteresse furent Ă©branlĂ©s et la brĂšche fut profonde ; elle fut colmatĂ©e dans lâurgence et la panique ; les cancĂ©rologues-pompiers maĂźtrisĂšrent lâincendie qui sâĂ©teignit en six semaines. 1972 En 1972 sâachĂšve la sĂ©rie dâexpĂ©rimentations animales rĂ©alisĂ©es par lâINSERM dans le service de toxicologie du professeur TRUHAUT pour vĂ©rifier les fondements et les retombĂ©es en matiĂšre de prĂ©vention active du cancer dĂ©coulant des publications du docteur Gernez. Le docteur GAK, chargĂ© de ce contrĂŽle, annonce au docteur Gernez quâelles confirment totalement les bases et les rĂ©sultats prometteurs annoncĂ©s par Gernez. Il prĂ©cise avoir instruction de les maintenir secrets ; ils seront mĂȘme ultĂ©rieurement officiellement niĂ©s. 1973 AprĂšs un entretien Ă GenĂšve avec le directeur de la cancĂ©rologie de lâOrganisation Mondiale de la SantĂ© OMS, Monsieur Charles GEFFROY, dans un opuscule Comment Ă©viter le Cancer⊠» tirĂ© Ă un million dâexemplaires, rĂ©vĂšle au public la procĂ©dure diĂ©tĂ©tique et mĂ©dicamenteuse prĂ©conisĂ©e par le docteur Gernez. PrĂ©valence des individualismes sur lâĂ©thique. Câest alors que, le docteur J. RIPOCHE, en charge du dossier au ministĂšre de la santĂ©, dĂ©cide de rĂ©vĂ©ler les rĂ©sultats des expĂ©rimentations rĂ©alisĂ©es depuis plusieurs annĂ©es dans le secret. Le ministre lui-mĂȘme, initiateur de cette dĂ©cision, Monsieur Poniatowski, sera censurĂ© et son successeur niera lâexistence de ces expĂ©rimentations. La raison invoquĂ©e, le 9 dĂ©cembre 1973, par le directeur gĂ©nĂ©ral de la santĂ© publique est quâune application de cette procĂ©dure prĂ©ventive, en accroissant la longĂ©vitĂ© moyenne de sept annĂ©es en cas de gĂ©nĂ©ralisation, rendrait insoluble le problĂšme dĂ©jĂ difficilement rĂ©solu de lâhĂ©bergement des gens ĂągĂ©s dans les LâannĂ©e suivante, en 1974, le maire de Florence, oĂč se tient le CongrĂšs International de CancĂ©rologie, dĂ©cide de dĂ©noncer dans son discours inaugural le mur du silence et de la honte. » Il est destituĂ© trois jours avant le congrĂšs et remis dans ses fonctions aprĂšs le congrĂšs. La brĂšche faite par la presse italienne dĂ©nonçant le scandale est colmatĂ©e et sa diffusion par Politika Express en Europe de lâEst fait lâobjet dâune intervention diplomatique en Yougoslavie. Cette mĂȘme annĂ©e, le monde politique sâimpatiente ; de tous bords politiques, les hommes dâĂ©tat tentent de remĂ©dier Ă la situation ; devant lâampleur du problĂšme » ils abandonnent tous. Seul, monsieur Alain POHER, PrĂ©sident de la RĂ©publique par intĂ©rim et PrĂ©sident du SĂ©nat persista. Il reçut le docteur Gernez et le docteur Delahousse Ă cinq reprises en trois mois Ă lâElysĂ©e. Ce scientifique honnĂȘte convaincu de mener le dossier Ă son terme en franchissant un simple obstacle prit conscience au fil des semaines quâil constituait un Everest », obstacle insurmontable en France. ConvoquĂ© pour un ultime entretien, le docteur Delahousse remit le dossier en prĂ©sence du PrĂ©sident Poher, Ă monsieur Berthouin, ministre plĂ©nipotentiaire de France qui partit aux USA. 1975 Peu aprĂšs, le PrĂ©sident ValĂ©ry Giscard dâEstaing, accompagnĂ© du professeur Jean Bernard rencontrait le PrĂ©sident des USA GĂ©rald Ford dans une brĂšve entrevue Ă la Martinique. Faut-il Ă©tablir un lien entre le voyage de monsieur Berthouin, du prĂ©sident Giscard dâEstaing, de lâintroduction dans le plan national du cancer amĂ©ricain du principe de la prĂ©vention active prĂ©venir lâĂ©tablissement de tumeurs Ă partir de cellules dĂ©jĂ capables de former des cancers », de lâannonce par les USA que en matiĂšre de cancer, nous sommes entrĂ©s dans lâĂšre de la victoire. » Est-ce Ă ce moment que fut dĂ©cidĂ©e la premiĂšre expĂ©rimentation prĂ©ventive dont le peuple amĂ©ricain bĂ©nĂ©ficie aujourdâhui ? Le docteur Gernez et le groupe de biologie nâen surent rien. Pour eux, ce fut le lock out ». DĂšs lors, le docteur Gernez fut soumis Ă des pressions multiples et mĂȘme au chantage sur son instrument de travail professionnel. Sans audience dans la presse mĂ©dicale ou gĂ©nĂ©rale, Ă©crite ou tĂ©lĂ©visĂ©e, il poursuivit son combat en entretenant une correspondance avec quelques notabilitĂ©s mĂ©dicales qui malgrĂ© leurs convictions affichĂ©es ne parvinrent pas Ă rompre le mur du internationale 1979 LâĂ©tranger ne reste toutefois pas inactif. Le Japon, aprĂšs avoir testĂ© la procĂ©dure sur 250000 volontaires, la gĂ©nĂ©ralise avec pour rĂ©sultat une dĂ©croissance de la morbiditĂ© cancĂ©reuse. Les Etats-Unis abandonnent la voie virale en dĂ©truisant le Hot Laboratory » de recherche du virus cancer et adoptent la voie orthoplasiante gernezienne. En Europe, dans un nouvel effort de rupture du mur du silence » qui devient insupportable, Ă lâunanimitĂ© du kuratorium composĂ© de Prix Nobel la Hans Adalbert Schweigart-Medaille » est dĂ©cernĂ©e solennellement le 17 juin 1979 Ă Salzbourg Autriche au docteur AndrĂ© Gernez. Presque toute la presse française en censure lâinformation. Au terme de ce quart de siĂšcle dâĂ©puisante traversĂ©e du dĂ©sert, AndrĂ© Gernez, le groupe de biologie et ses prĂ©sidents successifs comprennent quâils sont dĂ©finitivement censurĂ©s en France. Ils dĂ©cident de ne plus perdre ni temps prĂ©cieux, ni Ă©nergie Ă tenter de forcer un barrage infrangible mais Ă Ćuvrer Ă la solution des processus dĂ©gĂ©nĂ©ratifs en panne de pathogĂ©nie et de thĂ©rapeutique depuis un siĂšcle en raison des erreurs dogmatiques de biologie cellulaire qui viennent dâĂȘtre maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives Encore fallait-il ajouter Ă ces corrections celle dâun autre dogme enchĂąssĂ© depuis un siĂšcle dans lâenseignement doctrinal et faisant obstacle Ă tout progrĂšs dans cette voie, Ă savoir lâabsence de neurogĂ©nĂšse aprĂšs la du dogme de la neurogĂ©nĂšse Au dĂ©but du siĂšcle dernier, Ramon y Cajal introduisait en biologie une donnĂ©e erronĂ©e que son autoritĂ© transforma en dogme inviolable, incontestĂ©, pilier de lâenseignement neuro-biologique et ainsi formulĂ© les structures nerveuses sont fixĂ©es et immuables Ă la naissance ; tout peut y mourir, rien nây peut rĂ©gĂ©nĂ©rer. » DĂšs 1970, Gernez, Delahousse, Lacaze, Dumont thĂšse Lille et Deston rĂ©cusĂšrent ce dogme. Ce fut considĂ©rĂ© comme une profanation accueillie dans lâincrĂ©dulitĂ© gĂ©nĂ©rale. En 1995, ce nouveau concept » est validĂ©. La SclĂ©rose en plaques Reprenant lâĂ©tude pathogĂ©nique de cette maladie Ă la lumiĂšre de cette donnĂ©e nouvelle, le groupe de biologie dĂ©finit le mĂ©canisme de la SclĂ©rose multiple », dĂ©montrant que cette affection mystĂ©rieuse, vĂ©ritable dĂ©fi Ă la science », nâest autre que la myĂ©linite mortelle de lâenfance qui acquiert des caractĂšres particuliers quand elle survient chez lâadulte jeune. Il en dĂ©coule une procĂ©dure de traitement qui, quinze annĂ©es plus tard et en dĂ©pit de lâappui du ministĂšre de la santĂ© Docteur Reyrole, du prĂ©sident de la National Academy of Sciences Philip Handler et de lâinlassable action des malades sclĂ©rosĂ©s D. Turbant, nâest ni appliquĂ©e ni mĂȘme publiĂ©e. La SchizophrĂ©nie Parmi les maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives, la SchizophrĂ©nie est la plus dĂ©gradante pour la personne humaine, la plus angoissante pour lâentourage par sa composante hĂ©rĂ©ditaire et le plus lourde pour la sociĂ©tĂ© qui finit par avoir la charge de 200 millions de malades mentaux dans le monde, dont plus de 20 millions sont internĂ©s. Le groupe dĂ©montre que son dĂ©terminisme nâest ni physique ni psychique mais structural par viciation des connexions cĂ©rĂ©brales se manifestant au terme de lâorganogĂ©nĂšse cĂ©rĂ©brale. Cette pathogĂ©nie structurale est divulguĂ©e au congrĂšs international de Vienne en juillet 1983. La rĂ©action du reprĂ©sentant français Ă lâOMS est violente mais nâempĂȘche pas la conversion de Bryan LĂ©onard, autoritĂ© mondialement connue en la matiĂšre. LâannĂ©e suivante, ce dernier vient en France annoncer quâil abandonne la voie chimique qui sâavĂšre incapable de rĂ©soudre le problĂšme posĂ© par la SchizophrĂ©nie et quâil se rallie Ă la thĂ©orie structurale. Celle-ci est officialisĂ©e par le professeur Tassin CollĂšge de France en 1985. En dĂ©pit de lâautoritĂ© internationale de ces auteurs, de nouveau un silence concertĂ© sâabat sur ces propositions qui, Ă peine Ă©mises, sont Ă©touffĂ©es dans lâinformation mĂ©dicale, interdisant la sanction thĂ©rapeutique qui en de Duchenne ou myopathie progressive Le mĂȘme silence concertĂ© et la mĂȘme censure de lâinformation interdisent Ă des nouveaux-nĂ©s de sexe masculin lâaccĂšs Ă un traitement prĂ©ventif simple de cette effroyable maladie dont lâincurabilitĂ© est actuellement totale. Elle finit par les tuer dans un tableau dâasphyxie progressive qui paralyse les muscles respiratoires. Confondant, pour cette maladie transmise par les filles et frappant les garçons, un facteur conditionnant avec un facteur dĂ©terminant, lâestablishment scientifique sâapplique Ă dĂ©finir la viciation du gĂšne fĂ©minin en oubliant que câest le chromosome masculin qui est dĂ©clenchant. Mis en face de sa mĂ©prise, il bloque les voies de publication sous des prĂ©textes oĂč, de nouveau, la nĂ©cessitĂ© de sauver la face prĂ©vaut sur celle de sauver le malade. Les actions entreprises par le groupe de biologie et les familles concernĂ©es nâarrivent mĂȘme pas, Ă ce jour, Ă franchir le barrage. AthĂ©romatose Lâobstruction va culminer avec lâathĂ©romatose. Cette maladie est la cause principale de la mortalitĂ© infarctus du myocarde, ictus cĂ©rĂ©bral et la plus grande pourvoyeuse de handicaps majeurs paralysie, hĂ©miplĂ©gie, aphasie. Responsable chaque annĂ©e de 230 000 dĂ©cĂšs en France et de 985 000 aux USA, le quart de la population amĂ©ricaine est destinĂ©e en 1983 Ă ĂȘtre affectĂ© par une maladie cardio-vasculaire. Elle est considĂ©rĂ©e unanimement comme le rĂ©sultat dâun encrassement de la paroi interne de lâartĂšre. Gernez dĂ©montre que la lĂ©sion initiale nâest nullement situĂ©e dans cette tunique interne mais bien dans la tunique moyenne de lâartĂšre et que, de surcroĂźt, elle est de nature non pas mĂ©tabolique mais tumorale. Gernez en rĂ©fĂšre alors aux plus grands spĂ©cialistes en la matiĂšre qui lui enjoignent de publier. Il nây parvient pas et, Ă leur grande surprise, ces spĂ©cialistes non plus. Cette redĂ©couverte dâune notion classique fait alors lâobjet dâun mĂ©moire adressĂ© Ă lâAcadĂ©mie de MĂ©decine en 1985 PrĂ©sident Lemaire. Le professeur MILLIEZ quitte alors le ComitĂ© National dâEthique en 1986 et parvient Ă faire publier CancĂ©risation athĂ©romateuse » dans une revue qui disparaĂźtra aussitĂŽt Objectif SantĂ© â Edition Maloine. Le relais sera repris nĂ©anmoins en fĂ©vrier 1987 par la revue Tensiologie » Cancer, athĂ©romatose, mĂȘme combat » et lâofficialisation finalement obtenue au congrĂšs de Kyoto en 1988. Curieusement, de cette reconnaissance ne sera tirĂ©e aucune application pratique alors que ce bouleversement ouvre enfin la voie Ă une procĂ©dure de prĂ©vention active dĂšs lors que le caractĂšre tumoral de la maladie vasculaire rentre dans le cas de la cancĂ©rose gĂ©nĂ©rale et devient Ă ce titre justiciable de la mĂȘme procĂ©dure prĂ©ventive. On ne peut clore ce mĂ©moire sans Ă©voquer briĂšvement plusieurs problĂšmes actuellement pendants dont les solutions acquises supportent des dĂ©lais dâapplication que lâexpĂ©rience dĂ©montre ĂȘtre imprĂ©visibles. Asthme et allergie Lâenfant prĂ©sente Ă la naissance une pĂ©riode dite de tolĂ©rance immunitaire » qui permet Ă lâorganisme de reconnaĂźtre et de tolĂ©rer par la suite sans rĂ©agir, tout au long de sa vie, ses propres constituants et ceux de lâenvironnement avec lequel il est destinĂ© Ă vivre. Si pendant cette brĂšve pĂ©riode de quelques semaines on rĂ©alise autour du nourrisson une bulle stĂ©rile » Ă©liminant le contact avec poussiĂšres, pollens, spores, acariens, moisissures, poils, plumes, germes, lâenfant rĂ©agira ultĂ©rieurement Ă leur prĂ©sence quand son systĂšme immunitaire deviendra mature et fonctionnel. Câest le fait du modernisme actuel des conditions pĂ©ri-natales que caractĂ©rise une asepsie systĂ©matique. La solution est aussi simple quâefficace et de surcroĂźt peut-ĂȘtre faut-il le regretter sans incidence Ă©conomique. Greffe dâorganes Cette mĂȘme pĂ©riode de reconnaissance-tolĂ©rance » post-natale offre la solution du problĂšme grave et harcelant que constituent les greffes dâorganes en attente. Pour France-Transplant, qui en Ă©tablit le fichier, 40 000 donneurs sont nĂ©cessaires pour que lâon puisse trouver le donneur compatible avec chaque cas en attente. » Et encore faut-il que ce donneur potentiel accepte. Autant dire que cette voie aboutit Ă une impasse. Plus rĂ©aliste et plus simple est de mettre Ă profit la pĂ©riode de reconnaissance-tolĂ©rance immunitaire pour rĂ©aliser des greffes dâorganes dĂ©finitivement tolĂ©rĂ©es sans nĂ©cessitĂ© de recourir aux immuno-suppresseurs dont les effets Ă long terme sont connus. Le Canada Hospital for sick children. Toronto vient de confirmer brillamment lâefficience de cette voie en greffant des cĆurs Ă des nouveaux-nĂ©s, sans considĂ©ration pour les groupes sanguins, sans immuno-suppression, avec une parfaite tolĂ©rance. La proposition dâĂ©largir Ă lâensemble de la population adulte le bĂ©nĂ©fice de cette tolĂ©rance allĂ©gĂ©e de toute contrainte comporte une procĂ©dure simple et anodine. Elle consiste Ă nantir les individus, Ă leur naissance, dâun lot de donneurs potentiels volontaires dont la compatibilitĂ© des organes leur sera dĂ©finitivement acquise par le contact post-natal avec un pool des cellules sanguines de ces donateurs volontaires, quel quâen soit le nombre. Le ministĂšre souhaite en faire bon usage » 12-11-2002 ; le directeur de lâInstitut de la longĂ©vitĂ©, chargĂ© de sa rĂ©alisation, considĂšre, quant Ă lui, que cette approche, quoique sĂ©duisante », se heurte Ă des obstacles financiers et Ă©thiques. Il reste aux candidats Ă la greffe dâorganes Ă cultiver la faillite du clonage La biologie Ă©volue comme la mode fĂ©minine. Câest aujourdâhui le gĂ©nomisme » qui a envahi tous ses domaines. Il attribue au gĂ©nome la commande de la cinĂ©tique divisionnelle de la cellule. La rĂ©alitĂ© est que le gĂ©nome a pour seule fonction de diffĂ©rencier la cellule alors que sa division est sous la dĂ©pendance du centriole situĂ© dans le cyto-plasme et non dans le noyau auquel il est accolĂ©. De sorte quâon observe et on obtient des divisions de cytoplasmes sans noyau mais jamais de noyaux sans cytoplasme. Le clonage, qui consiste Ă transfĂ©rer un noyau dans un cytoplasme adoptif devrait rĂ©ussir dans 95 % des cas avec un rebut expĂ©rimental de 5 %. Or on observe le contraire et toutes les Ă©quipes sâexaspĂšrent, parfois jusquâĂ la falsification quâillustre lâactuelle affaire Hwang » en CorĂ©e du Sud. La rĂ©alitĂ©, prosaĂŻque, est quâen aspirant le noyau, il arrive que la pipette aspire en mĂȘme temps le centriole qui lui est accolĂ©. Que de temps, dâĂ©nergie, de crĂ©dits, dâespoirs gĂąchĂ©s par la simple et dĂ©risoire inobservance dâune donnĂ©e au demeurant classique, mĂ©connue ou oubliĂ©e !La maladie de Parkinson La rĂ©vision dogmatique obtenue en ce qui concerne la neurogĂ©nĂšse post-natale ouvre la voie Ă la solution de processus figĂ©s comme la maladie de Parkinson. Elle deviendra urgente au fur et Ă mesure que sâaccroĂźtra son incidence avec le dĂ©veloppement de la campagne anti-tabac drastique entreprise en Europe, le tabagisme constituant un facteur de protection qui, bien que relatif, est statistiquement Ă©tabli 50 %, nonobstant tous ses inconvĂ©nients, et dont lâĂ©radication doit dorĂ©navant ĂȘtre intĂ©grĂ©e Ă lâurgence actuelle. Or la maladie rĂ©sulte de lâextinction progressive des neurones secrĂ©tant la dopamine. Lâadministration compensatrice de cette substance pallie temporairement cette carence sans stopper la maladie qui se manifeste, majorĂ©e aprĂšs quelques annĂ©es, dans lâirrĂ©versibilitĂ©. Le but est de rĂ©tablir lâĂ©quilibre de la boucle de rĂ©gulation qui rĂ©git le tonus musculaire boucle nigro-striĂ©e. La stratĂ©gie actuelle y procĂšde en intervenant sur lâĂ©lĂ©ment nigrique de la boucle dont elle compense la carence sĂ©crĂ©toire. Elle y parvient avec un rĂ©sultat non nĂ©gligeable mais temporaire du fait que cette substitution provoque, au terme de 5 â 7 annĂ©es lâextinction de la sĂ©crĂ©tion dopaminique naturelle. La stratĂ©gie proposĂ©e consiste Ă intervenir sur lâautre Ă©lĂ©ment de la boucle, le striatum rĂ©cepteur de la dopamine. Elle ne prĂ©sente pas lâinconvĂ©nient sus-dit et ce contrĂŽle de la rĂ©gulation nâest ni chirurgical ni chimique mais souple et rĂ©glable Ă volontĂ©. Des constats chirurgicaux involontaires apportent de maniĂšre inattendue une validation de cette stratĂ©gie que lâappareillage actuel permet de maladie dâAlzheimer Cette maladie va, elle aussi, voir son incidence sâaccroĂźtre avec lâĂ©radication du tabagisme qui, pour justifiĂ©e quâelle soit, constitue le seul facteur protecteur dont le ratio statistique est de 20 %. LâaccĂ©lĂ©ration de la morbiditĂ© qui va en rĂ©sulter implique de prĂ©cipiter la solution car, le diagnostic posĂ©, la maladie est et restera incurable. Elle rĂ©sulte en effet de la disparition des cellules limbiques porteuses de la mĂ©moire sĂ©mantique qui sont irremplaçables ; toute substitution par des neuro-blastes se heurterait Ă lâatrophie des sites concernĂ©s et Ă lâimpossibilitĂ© dâen reconstituer lâapprentissage dâune rĂ©alitĂ© vĂ©cue par le malade et Ă jamais disparue. Ce tarissement prĂ©maturĂ© de la rĂ©serve neuroblastique est consĂ©cutif Ă lâaccumulation de facteurs neurotoxiques et neurolytiques dont lâĂ©limination est aujourdâhui utopique car elle arriverait trop tardivement pour rĂ©soudre le problĂšme posĂ© aux gĂ©nĂ©rations actuelles. Lorsque la maladie sâexprime cliniquement, le tarissement muet de la rĂ©serve neuro-blastique est en effet en cours depuis des dĂ©cennies. Il est alors illusoire, donc inutile, de freiner une cinĂ©tique divisionnelle neuro-blastique devenue inexistante. La solution, la seule qui soit biologiquement cohĂ©rente et de surcroĂźt simple dâapplication, consiste Ă procĂ©der systĂ©matiquement Ă ce freinage dans les groupes Ă risque dĂ©mence familiale, trisomie 21, traumatismes crĂąniens, hypothyroĂŻdie, dĂ©pression et Ă lâĂ©tendre Ă la population gĂ©nĂ©rale quand lâexpĂ©rience aura dĂ©montrĂ© son absence dâeffets secondaires et son 2005 Les vĂ©ritĂ©s scientifiques finissent toujours par sâimposer, parce que la vĂ©ritĂ© ne triomphe jamais, mais ses ennemis finissent par mourir » Max Planck. Les rĂ©visions dogmatiques introduites par le docteur Gernez et le groupe de biologie accĂšdent lâune aprĂšs lâautre au classicisme aprĂšs un long cheminement nĂ©cessaire au maintien de la stabilitĂ© professionnelle et sociale considĂ©rĂ©e comme prioritaire. Câest ainsi quâil aura fallu des dĂ©cennies 1968 â 2005 pour que le fondement mĂȘme de la biologie, le principe de lâalternance gĂ©nĂ©ratrice et fonctionnelle de la cellule, soit officiellement remplacĂ© par le couple cellule gĂ©nĂ©ratrice et cellule fonctionnelle infĂ©conde. LâEurope vient de lâofficialiser. Certes, les cheminements ont divergĂ© au cours de cette pĂ©riode probatoire et opaque, aboutissant par exemple Ă ce que la cancĂ©risation rĂ©gresse chaque annĂ©e de 1,1 % aux USA pendant quâelle sâaccroĂźt de 63 % en France pendant la mĂȘme pĂ©riode. Le temps serait-il venu de replacer le malade Ă la place qui lui revient lĂ©gitimement, la prioritĂ© ? 2006 â 2008 RĂ©alisation de deux films par Jean-Yves Bilien portant sur lâensemble des travaux du Docteur AndrĂ© Gernez. Ces films ont Ă©tĂ© intitulĂ©s Le Scandale du SiĂšcle », en considĂ©ration du grand nombre de personnes qui auraient dĂ» ĂȘtre soignĂ©es depuis les annĂ©es 1970 grĂące aux dĂ©couvertes et propositions du Docteur AndrĂ© Gernez, et qui sont mortes, tandis que les Pouvoirs Publics et les AutoritĂ©s MĂ©dicales, pourtant rĂ©guliĂšrement informĂ©es de lâexistence de ces solutions, ont obstinĂ©ment refusĂ©es de les prendre en considĂ©ration. La loi du silence a prĂ©valu et prĂ©vaut encore. Mais ces films ont permis de faire connaĂźtre le Docteur AndrĂ© Gernez et ses travaux, et de reprendre lâaction en vue de leur reconnaissance. filmographie 17 novembre 2007 Le Docteur AndrĂ© Gernez a reçu la MĂ©daille dâOr de la SociĂ©tĂ© dâEncouragement au ProgrĂšs au SĂ©nat Ă Paris. 27 juin 2010 CrĂ©ation de lâAssociation Pour AndrĂ© Gernez APAG. 7 juin 2011 CrĂ©ation de lâInstitut International AndrĂ© Gernez 2IAG. Octobre 2012 Le Docteur AndrĂ© Gernez publie un texte intitulĂ© Alzheimer â Epilogue », dans lequel il met en Ă©vidence une cause majeure de lâĂ©pidĂ©mie dâAlzheimer. Lâabsence dâinstruction, dâĂ©ducation et de pratique religieuses pendant lâenfance, moment de formation au niveau du cerveau limbique de la fonction religieuse, entraĂźne une hypoplasie du cerveau limbique, qui favorisera le dĂ©veloppement de la maladie dâAlzheimer Ă la sĂ©nescence. Le Docteur AndrĂ© Gernez indique que le vote et lâapplication des lois laĂŻques de la fin du XIXĂšme siĂšcle constituent un facteur dĂ©clenchant de lâĂ©pidĂ©mie actif sur une large partie de la population, propre Ă expliquer que lâAlzheimer, maladie rare au XIXĂšme siĂšcle, puisse ĂȘtre maintenant si rĂ©pandue. Alzheimer Ă©pilogue 26 octobre 2012 Le Docteur AndrĂ© Gernez a reçu la Grande MĂ©daille dâOr de la SociĂ©tĂ© dâEncouragement au ProgrĂšs au SĂ©nat Ă Paris. Diaporama discourt de la SEP 16 novembre 2012 Le 16 novembre 2012, dans le cadre des activitĂ©s de lâAssociation Pour AndrĂ© Gernez, un entretien avec le docteur AndrĂ© Gernez, interrogĂ© par le docteur Jacques Lacaze, a Ă©tĂ© filmĂ©. Divers sujets ont Ă©tĂ© abordĂ©s et en particulier le dernier texte dâoctobre 2012 du Docteur AndrĂ© Gernez, intitulĂ© Alzheimer â Epilogue, oĂč il met en Ă©vidence une cause majeure de lâĂ©pidĂ©mie dâAlzheimer. Le jeudi 28 fĂ©vrier 2013 a Ă©tĂ© organisĂ©e une confĂ©rence de presse Ă la Mairie de Marcq-en-BarĆul sous le haut patronage de Monsieur Bernard GĂ©rard, DĂ©putĂ© Maire de la ville. Le Docteur AndrĂ© Gernez a reçu, Ă cette occasion, la mĂ©daille dâhonneur de la ville de Marcq-en-BarĆul. Aucun journaliste nâa rĂ©pondu Ă lâinvitation, aucun nâa assistĂ© Ă la confĂ©rence de presse. 25 juin 2013 Ni LĂ©gion dâHonneur, ni Prix Nobel pour le Docteur AndrĂ© GERNEZ Monsieur Pierre CHANOINE-MARTIEL PrĂ©sident de la SociĂ©tĂ© dâEncouragement au ProgrĂšs, la SociĂ©tĂ© qui a dĂ©cernĂ© au Docteur AndrĂ© GERNEZ sa grande mĂ©daille dâor 2012, a demandĂ© au PrĂ©sident de la RĂ©publique que la LĂ©gion dâHonneur soit donnĂ©e au Docteur AndrĂ© GERNEZ et que la France prĂ©sente officiellement sa candidature pour le Prix Nobel de biologie et de mĂ©decine. LâAPAG a rĂ©pondu Ă sa sollicitation de soutenir cette demande par la signature de bulletins de soutien, dâautant plus volontiers que certains de nos adhĂ©rents nous avaient dĂ©jĂ suggĂ©rĂ© dâen faire la demande. Nous remercions les personnes qui en France et Ă lâĂ©tranger ont souhaitĂ© soutenir le Docteur AndrĂ© GERNEZ et lui tĂ©moigner leur estime. Environ 450 bulletins ont Ă©tĂ© recueillis en trois mois et envoyĂ©s le 4 juin 2013 au PrĂ©sident de la RĂ©publique. Le 25 juin 2013, Monsieur Pierre BESNARD, chef de Cabinet du PrĂ©sident de la RĂ©publique, a rĂ©pondu ⊠il nâest cependant pas possible dây rĂ©server une suite favorable ». Il nây aura donc ni LĂ©gion dâHonneur ni Prix Nobel dĂ©cernĂ© au Docteur AndrĂ© GERNEZ. Novembre 2013 Un peu plus dâun an aprĂšs la publication de lâ Ăpilogue Alzheimer », le Docteur AndrĂ© Gernez a publiĂ© son dernier texte intitulĂ© Biologie et Pathologie de la Fonction Religieuse ». Dans cet Ă©crit il a synthĂ©tisĂ© ses thĂ©ories sur la Biologie de la Fonction Religieuse et sur la maladie dâAlzheimer. Il a expliquĂ© la cause majeure, mais non unique, ayant conduit Ă faire dâune maladie rare au XIXĂšme siĂšcle, une Ă©pidĂ©mie massive au XXĂšme siĂšcle, localisĂ©e principalement dans les pays Occidentaux. commander ce livre Ce texte est paru intĂ©gralement le 19 janvier 2015 aux Ăditions Fiat Lux. dĂ©cĂšs de docteur AndrĂ© Gernez 8 janvier 2014 DĂ©cĂšs du Docteur AndrĂ© GERNEZ Source AndrĂ©Gernez, le scandale du siĂšcle - l'intĂ©grale Recherche - 240 mn VOD. AndrĂ© Gernez, pĂšre de la thĂ©orie sur les cellules souches, a mis au point le "protocole de prĂ©vention contre la cancer" AndrĂ© Gernez, le scandale du siĂšcle - 1 2008 - Recherche mĂ©dicale - 120 mn Sur le mĂȘme thĂšme . VOD DVD. Tapis au creux de nos entrailles, 100 Dr AndrĂ© Gernez Le Scandale du SiĂšcle - CD1 il guĂ©rit le cancer, l'Etat censure sa dĂ©couverte Documentaire en 2 parties premiĂšre partie CD N°1. Seconde partie Dr AndrĂ© Gernez Le Scandale du âŠĐŃĐ»ŃŃĐ”Dr AndrĂ© Gernez Le Scandale du SiĂšcle - CD1 il guĂ©rit le cancer, l'Etat censure sa dĂ©couverteDocumentaire en 2 parties premiĂšre partie CD N°1.Seconde partie Dr AndrĂ© Gernez Le Scandale du SiĂšcle - CD2 il guĂ©rit le cancer, l'Etat censure sa dĂ©couverteTitre âle scandale du siĂšcleâ.Avec le Dr AndrĂ© Gernez et rĂ©alisĂ© par Jean-Yves Bilien 2007.Un film Ă ne pas plus de 30 ans de silence, ce documentaire nous rĂ©vĂšle un secret dâĂ©tat. On y dĂ©couvre que les responsables de la santĂ© publique en France font passer les prĂ©occupations Ă©conomiques bien avant les impĂ©ratifs mĂ©dicaux. Câest pas un scoop bien sur, mais Ă ce niveau lĂ , ne devraient-ils pas rendre des comptes ? Ainsi le Dr AndrĂ© Gernez a vu les rĂ©sultats de ses travaux Ă©touffĂ©s juste avant leurs applications publiques par 4500 mĂ©decins prĂ©parĂ©s Ă suivre sa mĂ©thode. Seul BĂ©mol dâimportance les dĂ©couvertes du Dr AndrĂ© Gernez permettraient de contrĂŽler, de rĂ©guler voire dâĂ©radiquer Ă des taux proches âŠĐŃĐ»ŃŃĐ” 015807 Dossiercomplet sur le Dr AndrĂ© Gernez, le scandale du siĂšcle PubliĂ© le 27 juillet 2020 Documentaire, SantĂ© mise Ă jour ledimanche 26 dĂ©cembre 2010 AndrĂ© Gernez Le Scandale du SiĂšcle. AndrĂ© Gernez est considĂ©rĂ© comme l'un des pĂšres de la thĂ©orie des cellules souches. Ses travaux portent sur la cellule, les pathologies dĂ©gĂ©nĂ©ratives. Il expose Ă©galement la comptabilitĂ© entre la transcendance et les donnĂ©es de la science, qui visent tout deux Ă la rĂ©alisation du projet gĂ©nĂ©tique de l'espĂšce humaine. 2 commentaires Salut, c'est pas l'endroit pour ca, mais je sais pas comment autrement t'envoyer un msg et si tu te connecte souvent sur utube, je t'ai laisĂ© un msg lĂ ' ne sais pas si c'est l'endroit pour te rĂ©pondre, mais je vais voir.^^RĂ©pondreSupprimer
DrAndrĂ© Gernez : le Scandale du SiĂšcle - VOLUME 1 Switch to English ŃДгОŃŃŃаŃĐžŃ ĐąĐ”Đ»Đ”ŃĐŸĐœ ОлО email. ĐаŃĐŸĐ»Ń. ĐĐŸĐčŃĐžSantĂ© le scandale du siĂšcle, par AndrĂ© Gernez [vidĂ©o] Aguelid, 1 jour de cela 0 Nous vous invitons Ă Lire la suite AndrĂ©Gernez est le pĂšre de la thĂ©orie des cellules souches, il rĂ©vise dans les annĂ©es soixante le dogme du double cycle cellulaire et de la fixitĂ© neuronale. Le Docteur Gernez est en mesure de contrĂŽler le cancer, l'AthĂ©romatose, la sclĂ©rose en plaques, la schizophrĂ©nie, la myopathie de Duchenne, l'Asthme et l'allergie, le Psoriasis, le